10 octobre 2018

au fil du voyage

Difficile comme d'habitude de se faire une opinion sur un pays en si peu de temps.
Nous avons cependant été frappés par l’accueil très chaleureux des iraniens.
Bien sur dans les zones touristiques ou les gens vivent de la venue des étrangers, mais aussi dans les zones plus reculées ou les iraniens que nous avons rencontrés étaient heureux de voir des français venir dans leur pays et en plus à moto.
Le football étant le sport national, des champions du monde ne peuvent être que bien accueillis !!!
Les trois contrôles de policiers ou de militaires que nous avons eus ont été cordiaux même s'il a fallu une fois nous rendre à la caserne pour copie de nos passeports.
Anecdote: Si vous croisez une iranienne avec un sparadrap sur le nez ce n'est pas que son mari l'a frappée, mais c'est qu'elle a les moyens de se faire refaire le nez et qu'elle le montre. A moins qu'elle n'aie pas les moyens et qu'elle veuille le faire croire !!!!

avec le patron de l’hôtel Keriah à Ispahan qui rénove depuis 8 ans un bâtiment classé dans le centre d'Ispahan et qui se trouve touché par la crise actuelle

les  pannes que nous avons eues sont l'occasion d'échanger avec les gens
l'incertitude sur l'avenir est générale même si c'est difficile de communiquer car peu parlent anglais. 
le Zurkhaneh "sport" traditionnel est pratiqué dans des salles spéciales
Il s'accompagne de rites à caractère irréligieux et mystique très forts
les exercices sont rythmés par un chant traditionnel
rencontre sympathique le dernier soir avec Pierre et Coco expatriés français
Pierre reste sur place malgré la décision de Peugeot de se retirer d'Iran
Peugeot fabrique  des voitures en  Iran depuis 30 ans
L'incertitude est  totale pour tous les étrangers vivant à Téhéran
Elle l'est aussi pour les iraniens



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire